En partage, quelques souvenirs de mes vacances  2009 !

                                                                                       

Terre enchanteresse aux flamboyantes cités d’art, la Toscane est une région d'Italie très touristique, située au centre-ouest du pays et dont la capitale est Florence.

Elle est bordée au nord-ouest par la Ligurie, au nord par l'Émilie-Romagne, à l'est par les Marches et l'Ombrie, au sud par le Latium.

Baignée à l'est par la mer Tyrrhénienne, elle est limitée à l’ouest par la chaîne de l’Apennin, arrosée au nord par l’Arno, et au sud par le Tibre.

Elle est divisée en dix provinces : Arezzo, Florence, Grosseto, Livourne, Lucques, Massa et Carrare, Pise, Pistoia, Prato et Sienne désignées par leur plus grande ville qui est leur capitale provinciale.

Berceau de la Renaissance italienne et du pouvoir des Médicis, son patrimoine culturel est immense !

Entre tourisme traditionnel, villégiature ou parcours culturels, les buts pour la visiter ne manquent pas :

- des paysages contrastées : nature sauvage dans les Alpes Apuanes, vertes et rondes collines, viticoles, parsemées d'oliviers et de cyprès, collines arides et désertiques  de Volterra

- de nombreux villages médiévaux à la gastronomie généreuse,

- des villes qui virent grandirent la Renaissance tout d'abord à Florence, son berceau.

 - des forteresses héritières de l'époque des communes indépendantes comme Volterra, San Gimignano, Pise, Lucques, et surtout Sienne, -  rivale historique de Florence - .au célèbre Palio course de chevaux traditionnelle

Des trésors étrusques, des cités médiévales, de l'art Renaissance et une incroyable douceur de vivre... La Toscane vaut autant par son patrimoine culturel (Florence, Sienne, Pise...) que par sa nature sublime, sans parler  de la galanterie  et du charme  légendaire mais  bien réel des Italiens !

                                                                                                                     Jeudi 24 septembre 2009

LYON, Fête des lumières 2008  :

Avoir des yeux d'enfant

Chaque année, pour la Ville de Lyon et ses partenaires, la Fête des lumières est un double défi.
Celui du renouvellement et de la créativité, pour ne pas décevoir l’immense public qui arpente quatre jours durant les rues de la ville et créer l’émerveillement dans son regard.
Celui du lien et de l’hommage à la tradition née il y a 150 ans, si chère au cœur des Lyonnais et fondatrice de la Fête.

L’histoire du 8 décembre est intimement liée à l’histoire religieuse lyonnaise.

En 1850, les autorités religieuses lancent un concours pour la réalisation d’une statue, envisagée comme un signal religieux au sommet de la colline de Fourvière. Un an plus tard, ce concours est remporté par le sculpteur lyonnais Fabisch, et la date du 8 septembre 1852 est choisie pour son inauguration.

Mais au mois d’août, la Saône sort de son lit et envahit le chantier où la statue doit être réalisée. L’inauguration est donc reportée au 8 décembre, fête de l’immaculée conception. Le jour même, les journaux annoncent le programme de la soirée et toute la ville se prépare pour l’événement. Quelques uns prévoient même d’illuminer les façades de leurs habitations à l’aide de bougies. Mais le mauvais temps va à nouveau contrarier les réjouissances, contraignant les autorités religieuses à remettre l’inauguration au 12 décembre. Malgré ce contrordre, l’enthousiasme des Lyonnais ne fut pas éteint.

Dès 18h, les premières fenêtres s’allument, et à 20h, la ville entière est illuminée. Une grande partie de la population descend dans la rue, joyeuse et attendrie, s’étonnant de ce geste spontané et communicatif. Les autorités religieuses suivent le mouvement et la chapelle de Fourvière apparaît alors dans la nuit.

Ce soir là, une véritable fête est née !

Chaque année désormais, le 8 décembre, les Lyonnais déposent des lumignons à leurs fenêtres et se retrouvent pour déambuler dans les rues de la ville. 
                                                                                                                                                                                                                    

La Fête des Lumières  c’est :

Une évasion urbaine  

Une fête populaire, conviviale et familiale

Un public toujours plus nombreux et fidèle

Un moment magique, de rêve et d’émotion partagés

Un événement ancré dans l’histoire du 8 décembre et le patrimoine lyonnais

Une fête ouverte aux concepteurs de tous horizons

Une programmation à la fois spectaculaire et intimiste

Un rayonnement grandissant et un leadership incontesté

Une vitrine du savoir-faire lyonnais en matière d’éclairage pérenne et éphémère

La Fête des Lumières en quelques chiffres

4 millions de visiteurs

80 projets lumière 

8 millions de lumignons vendus sur le territoire du Grand Lyon

3.5 millions de voyageurs sur le réseau des transports en commun

400 000 programmes diffusés 14 télévisions,

plus de 250 articles de presse 11 radios,

un parc hôtelier complet pendant les 4 jours de la Fête,

un chiffre d’affaires trois fois plus important qu’en période normale pour les bars et restaurants de la ville

47 partenaires institutionnels et privés

Des pentes de la Croix-Rousse  à la presqu’île,  du centre ville  au Parc de la Tête D’Or,  ce lundi 7 décembre à parcourir Lyon  en lumières  fut de nouveau  un réel bonheur !

Elle est si  belle ma ville, avec ou sans lumières !

Si vous  voulez  voir ou revoir  l’édition 2006 c’est ici,
photos  et  histoire de Lyon au fil de la visite   !

                                                                                                                                                        mercredi 17 décembre 2008

SUCRÉ, SALÉ

Cannelle, muscade et colombo
Dans l'assiette
La saveur des épices

Hibiscus, et roses de porcelaine
Dans l'air
Un parfum de fleurs

Musique souk et conversations animées
Dans la rue
La musicalité créole

Plages de sable blanc ou noir
Dans les cocotiers
Le murmure du vent

Océan déchaîné et mer cristalline
Sur l'eau
La barque du pêcheur

Bananes, mangues et ananas
Au marché
Des fruits juteux

 Ti punch et madras flamboyant
Partout
Une culture préservée

Maisons coloniales et cases d'esclaves
Au quotidien
Le poids  du passé

Toujours en  quête d'identité
La Martinique
Pleure, Aimé Césaire,

Poète et politique,
L'enfant du pays
Porte parole de la négritude

Entre volcan et cyclone,
Tout un peuple
S'empresse de soigner ses cicatrices,

  Entre volcan et cyclone
Tout un peuple
S'empresse de rire, de vivre

 








Entre volcan et cyclone
Entre passé et avenir
Comme dans l'urgence !

chronique de voyage,  (illustrations : photos personnelles)
chrystelyne, Lundi 12 mai 2008

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Aimé Césaire

Partir
"Cahiers d'un retour au pays natal"